ALEJANDRO DE HUMBOLT NATIONAL PARK
It became one of the most important in the Caribbean and is named for the German scientist that visited Cuba in the XVIII century.
It is located in the vast area of the province of Guantánamo in the extreme eastern part of the country and there one can find many species of native Cuban flora and fauna that add to the area’s attractions. It is also home to one of the most varied and protected ecosystems in the country.
The park is one of the world’s most endemic places and an example of this is that it is home to two percent of the planet’s flora. Due to its wealth of attributes it has been proclaimed a National Monument.
BARACOA
La première ville fondée par les espagnols en 1511 s’élève presque cinq siècles plus tard comme le principal pôle touristique de Guantanamo.
Le nom est d’origine arauaco et signifie existence de la mer. Elle est aussi appelée “Ville Paysage”, “Ville des Pluies”, Ville des Montagnes”, “Ville des Eaux”, “ Capitales du Bois”, “Le Coco et le Cacao”.
Sa nature, entourée de massifs montagneux décorés par un vigoureuse végétation de bois vierges, pléthore de flore et de faune endémique, avec des fleuves cristallins et ses plages entourés de vignes sauvages, amandiers et de cocotiers, font qu’elle possède une marque distinctive, si on la compare avec le reste du pays.
La Ville Primée est un mélange incroyable de du « réel merveilleux » comme l’a écrit dans un de ses romans l’écrivain cubain Alejo Carpentier. Dans « Le Sacre du Printemps » le Prix Noble de Littérature recrée la légende de la russe qui s’installa à Baracoa, un fait qui est rappelé aujourd’hui grâce à l’hôtel du même nom.
L’église paroissiale du village conserve toujours l’unique Crois de Parra des 29 que Christophe Colon avait placé dans différents endroits du pays lors de son voyage de découverte du nouveau monde.
Forteresses espagnoles du 18ème siècle et quelques édifices du 19ème son conservés comme une touche distinctive de l’architecture de Baracoa, mêlés à des éléments caribéens qui font de cette région un lieu sans pareil.
GUANTÁNAMO
Capitale de la province la plus orientale de Cuba avec un superficie d’approximativement 6 184 kilomètres carrés correspondant à comme seulement 6 pour cent du pays.
La ville est baignée par le fleuve Guaso et croissant développement urbain constitue une préoccupation permanente de la part de ses habitants.
Le centre historique avec son parc entouré des artères principales est toujours un centre d’attraction des visiteurs.
La proche présence de la Base Navale dans une portion du territoire usurpée depuis 1903 par le gouvernement des Etats Unis a laissé ses traces dans quelques unes des vétustes constructions du territoire.
En 1928 le compositeur Joseito Fernández s’inspira pour écrire son thème immortel “ Guajira Guantanamera” morceau qui a parcourut le monde comme fidèle symbole de la musique cubaine.
PLAGE DE CAJOBABO
Elle devient un lieu de grande valeur historique à partir du onze avril 1895 quand le Héro National Jose Marti débarqua dans la région pour s’intégrer à la lutte de l’armée « Mambie » contre le colonialisme espagnol. Parcourir ces parages dans la province orientale de Guantanamo permet de suivre les chemins par lesquels passa l’Apôtre de Cuba dans sa pérégrination vers sa proche chute au combat, fait qui se produisit exactement le 19 mai de cette même année dans un lieu connu sous le nom de Dos Rios. Avec Marti débarqua aussi le patriote dominicain Maximo Gomez, qui baisa le sable en geste de respect envers la terre qui l’a toujours accueilli comme un de ses précieux enfants. Marcos del Rosario, un des passagers de ce bateau, parcoura les lieux le 23 avril 1922 et identifia le point spécifique du débarquement et il fut décidé d’y élever un monument qui ne devint réalité qu’en 1947. Ce lieu intriqué thésaurise suffisamment de mérites pour être Monument National.
La première ville fondée par les espagnols en 1511 s’élève presque cinq siècles plus tard comme le principal pôle touristique de Guantanamo.
Le nom est d’origine arauaco et signifie existence de la mer. Elle est aussi appelée “Ville Paysage”, “Ville des Pluies”, Ville des Montagnes”, “Ville des Eaux”, “ Capitales du Bois”, “Le Coco et le Cacao”.
Sa nature, entourée de massifs montagneux décorés par un vigoureuse végétation de bois vierges, pléthore de flore et de faune endémique, avec des fleuves cristallins et ses plages entourés de vignes sauvages, amandiers et de cocotiers, font qu’elle possède une marque distinctive, si on la compare avec le reste du pays.
La Ville Primée est un mélange incroyable de du « réel merveilleux » comme l’a écrit dans un de ses romans l’écrivain cubain Alejo Carpentier. Dans « Le Sacre du Printemps » le Prix Noble de Littérature recrée la légende de la russe qui s’installa à Baracoa, un fait qui est rappelé aujourd’hui grâce à l’hôtel du même nom.
L’église paroissiale du village conserve toujours l’unique Crois de Parra des 29 que Christophe Colon avait placé dans différents endroits du pays lors de son voyage de découverte du nouveau monde.
Forteresses espagnoles du 18ème siècle et quelques édifices du 19ème son conservés comme une touche distinctive de l’architecture de Baracoa, mêlés à des éléments caribéens qui font de cette région un lieu sans pareil.
Elle devient un lieu de grande valeur historique à partir du onze avril 1895 quand le Héro National Jose Marti débarqua dans la région pour s’intégrer à la lutte de l’armée « Mambie » contre le colonialisme espagnol. Parcourir ces parages dans la province orientale de Guantanamo permet de suivre les chemins par lesquels passa l’Apôtre de Cuba dans sa pérégrination vers sa proche chute au combat, fait qui se produisit exactement le 19 mai de cette même année dans un lieu connu sous le nom de Dos Rios. Avec Marti débarqua aussi le patriote dominicain Maximo Gomez, qui baisa le sable en geste de respect envers la terre qui l’a toujours accueilli comme un de ses précieux enfants. Marcos del Rosario, un des passagers de ce bateau, parcoura les lieux le 23 avril 1922 et identifia le point spécifique du débarquement et il fut décidé d’y élever un monument qui ne devint réalité qu’en 1947. Ce lieu intriqué thésaurise suffisamment de mérites pour être Monument National.